Pop Art- Shokkobo

Shokkobo nait d’une histoire d’amour entre 2 artistes : Nathalie Cubéro originaire du sud de la France, au bord de la mer et Pappay qui a grandi près de Saint-Etienne. Ces deux artistes réservés et discrets sont faits pour s’entendre et même créer ensemble des œuvres peintes à 4 mains : « la peinture est un moyen d’expression formidable, un moyen de partager nos émotions et d’en susciter chez le spectateur ».

Ils ont dès leur enfance fait entrer l’Art dans leur vie, pour Pappay le dessin est son moyen d’expression favori, il perfectionne sa formation et sort diplômé des Beaux-Arts. Il crée des fresques murales et s’exprime sur toile.

Pour Nathalie, l’Art a toujours été multiple dans sa vie : le piano au conservatoire, la danse et le dessin notamment pour créer les vêtements qu’elle aurait aimé porter et qu’elle ne trouvait pas en boutiques ; puis la photographie d’Art et enfin la peinture qui lui vaut un diplôme en Arts appliqués.

Avec Shokkobo, le Pop Art s’impose à eux : le but de cette collab étant de s’amuser et retranscrire un univers qui les passionne tous les 2, celui de la Pop Culture. Ainsi leurs œuvres illustrent leurs diverses inspirations que ce soit dans les jeux vidéo, les films de science-fiction, les mangas, ou le design et comme ils nous le confient : « tout ce qu’on trouve fun ou même un peu déjanté, cela nous attire 😉 ». Le fait de ne rien s’interdire et d’apporter différentes références amusantes dans leur pratique artistique leur permet de s’épanouir dans leur travail.

Avec cette Collab, ils ont trouvé le parfait équilibre pour exprimer leur talent et leur complicité, ils nous enchantent, chaque œuvre semblant être réellement animée. On s’attend à tout moment à ce que Batman s’envole, ou que Mickey se mette à parler. Ils prouvent leur grande maîtrise artistique, et leur liberté dans l’expression de leur passion.

Admirer une œuvre de Shokkobo, c’est ressentir un plaisir simple, immédiat, c’est s’autoriser un sourire, partager avec ces 2 artistes un vrai moment de complicité, face à un souvenir de notre quotidien. C’est rapporter chez nous un personnage, un objet auquel on est attaché et qui ne finira pas d’apporter de la gaîté à notre intérieur.