Virginie Mézan de Malartic naît et vie à Paris, fille d’un père architecte et d’une mère décoratrice. Ses œuvres se nourrissent de ces deux univers professionnels. Enfant, Virginie passe son temps libre à dessiner. Deux œuvres la fascinent et l’invitent à la peinture : « La Pie » de Monnet et « La Femme aux yeux bleus » de Modigliani. Les ombres, la profondeur, la lumière, le mystère et l’élégance sont ainsi la marque de ses œuvres d’aujourd’hui.
Au fur et à mesure de son évolution, Virginie affine sa technique : c’est dans la superposition de multiples couches de peinture à l’huile, toujours appliquée au couteau qu’elle maîtrise les couleurs, les transparences et la profondeur. Elle peut alors décliner et multiplier ces scènes de vies quotidiennes qu’elle nous présente comme des moments d’intimité volés à ces personnages, sublimés par sa grande maîtrise du clair-obscur. Dans chacune de ses œuvres, telle une conteuse, Virginie nous raconte l’histoire d’un homme, d’une femme dans des décors somptueux.
En 2004, son besoin de peindre prend le dessus et Virginie quitte son emploi d’attachée de presse pour se consacrer uniquement à sa passion. Elle multiplie les salons notamment le Salon Art en Capital au Grand Palais et les expositions telles qu’à l’espace Pierre Cardin à Paris. En parallèle elle expose dans de nombreuses galeries d’art à Paris, Bruxelles, Londres… Ses œuvres séduisent et impressionnent. Sa côte monte en flèche.
Admirer une œuvre de Virginie est une invitation à rêver et à accéder à un secret, celui de l’Elégance et de la Beauté, grâce à une incroyable technique artistique et une sublime sensibilité.